viernes, 23 de marzo de 2007

La Semana Santa. La isla del tesoro. La nieve


La Semana Santa
(Alba)
Como todos sabemos se acerca la Semana Santa, y en el Luis Buñuel eso significa para los profesores corregir y, para los alumnos darles quehacer (para los que no lo hayan entendido significa hacer deberes). Creo que a veces los profesores se olvidan de que además de su asignatura, tenemos otras. Dicen: "es muy poco, y además, tenéis una semana por delante".
Aparte de esas consideraciones, La Semana Santa nos trae otros pensamientos, sobresaliendo entre todos ellos el significado religioso. Vamos a presenciar durante unos días procesiones, tambores, "nazarenos", cofradías, "pasos", "incienso", pasión, bombos. Pero lo que nos gusta a los alumnos es que, por fin, tenemos unos días de vacaciones.
Preguntas.
1.- Luis Buñuel utiliza en algunas películas los tambores y los bombos, ¿Sabes por qué?
2.- Escribe el significado de las palabras que tienen comillas.

La isla del tesoro
(Víctor)
Cuando el joven Jim Hawkins encuentra el mapa de una isla desierta en la que se ha escondido un tesoro, recurre a influyentes amigos para fletar la Hispaniola y emprender el viaje. Cuenta con su audacia, la experiencia del capitán Smollet y la inteligencia del doctor Livesey. Pero la tripulación está formada por una banda de filibusteros a las órdenes de John Silver, un verdadero pirata sanguinario que codicia el mismo tesoro.
¡No te lo pierdas!



La nieve
(Rubén)

El año 2007 no ha sido el mejor año para ir a la nieve. El Instituto Luis Buñuel tenía prevista una salida para el mes de febrero, pero como no había nieve se ha retrasado hasta la semana del 18 de Marzo.

Algunos alumnos pensaban que, por la fechas, casi podrían haber ido a la playa, pero aunque estamos cerca de las vacaciones de Semana Santa, el tiempo sigue siendo frío y han tenido suerte porque ha caído una nevada importante.

Espero que alguno cuente sus experiencias escribiendo algún comentario.




miércoles, 14 de marzo de 2007

L'Espagne vue par une Belge...

Je me présente un peu: Je suis Marie, la lectrice belge qui a travaillé à l'IES Luis Buñuel d'octobre 2006 à mars 2007.
Avant mon séjour à Saragosse, j’avais déjà visité l’Espagne et je m’étais plus ou moins fait une idée de ce que c’était ce pays ensoleillé. Toutefois, je connaissais l’Espagne seulement de quelques brefs séjours et des images qui m’étaient parvenues par la télévision, la presse, la littérature etc. Comme tout le monde, j’associais – et je le fais toujours – votre pays au soleil, à la plage, aux taureaux et arènes, à la paella et la sangria (que les Flamands prononcent en accentuant le « a » : sángria), au flamenco, aux festivités de la Semaine Sainte, aux castagnettes et à la guitare espagnole.

Pourtant, si je croyais connaître l’Espagne, je me trompais sérieusement. Mon séjour à Saragosse m’a en premier lieu appris que votre manière de vivre, votre mentalité, votre comportement, bref, toute votre vie diffère pas mal de ce que je connais. Et c’est ce qui a rendu mon séjour très intéressant. Parce que même si, à première vue, les différences entre la Belgique et l’Espagne ne sont pas tellement importantes, j’en ai découvert toute une série.

Avant de retourner chez moi, j’aimerais vous raconter ce que j’ai appris sur la culture espagnole. Je crois qu’il peut être intéressant pour vous de savoir ce qui est caractéristique de votre pays. Car finalement, c’est surtout en comparant ses propres habitudes avec d’autres manières de vivre qu’on se rend compte des différences culturelles. Autrement dit, la découverte d’une autre culture aide toujours à connaître mieux sa propre culture. Ainsi j’espère que mes réflexions vous inviteront à réfléchir à la fois sur votre pays, qui est beaucoup plus que le soleil, la plage et la paella…

Evidemment, ce que vous allez lire, ce sont mes impressions personnelles, qui se sont formées dans un contexte particulier. J’ai essayé de nuancer mes pensées, de ne pas trop généraliser, parce que je suis bien consciente de la subjectivité et, dès lors, de la relativité de mes idées. De plus, je vous invite à commenter mon texte, à le critiquer, à le contredire… car le dialogue et la confrontation se révèlent toujours enrichissants.


La vie scolaire

- Ici, la plupart des écoles sont publiques. En Belgique, la plupart des écoles sont catholiques, organisées par des entités particulières.
- Les écoles publiques ont toutes le même mobilier, les mêmes couleurs vertes.
- Les profs portent souvent des blouses blanches qui me font penser à l’uniforme des infirmières.
- Au lycée (« Instituto »), les cours se terminent à 14h15 et l’après-midi est libre. Incroyable pour une Belge qui est habituée à des journées de 9h à 16, parfois 17h.
- L’obligation scolaire s’arrête deux ans plus tôt qu’en Belgique. Chez nous, le bac n’existe pas. Chaque année, il y a deux ou trois périodes d’examens.
- Les connaissances de langues étrangères ne sont pas trop bonnes. Enseigner l’anglais / le français à des élèves de 16 ans ici est complètement différent qu’en Belgique.
- Les écoles espagnoles proposent énormément d’activités après-scolaires.
- Chaque école est entourée d’une grille fermée à clé.
- Souvent, les élèves nomment leurs profs par le prénom. Chez nous, on peut le faire en primaire, mais c’est plutôt impoli de le faire en secondaire.
- Bien que je ne connaisse pas tous les élèves espagnols ni belges, j’ai l’impression que les premiers sont un peu moins disciplinés, plus bavards, plus chaotiques que les derniers.
- Souvent, les élèves espagnols n’ont pas de feuilles (bloc de cours) avec eux. Vous avez plutôt l’habitude d’écrire dans des cahiers. Et si vous écrivez sur des feuilles, elles sont toutes blanches, sans lignes ou carreaux. Les élèves belges utilisent plutôt des classeurs dans lesquels ils insèrent leurs feuilles.


Les repas

- M’adapter à l’horaire espagnol (prendre un « almuerzo » vers 11h, déjeuner vers 15 h et dîner vers 21h) a été super difficile. Chez nous, on déjeune vers 12h30, on dîne vers 18h30.
- A part les produits et plats connus comme espagnols à l’étranger, votre pays a beaucoup d’autres délices comme le nougat (« turrón), les « polvorones » et les « migas ».
- Par contre, je n’arrive pas à comprendre pourquoi vous mangez tellement de pain sandwich. En comparaison avec un bon pain Rincón par exemple, le pain sandwich me paraît dégueulasse.
- Je connaissais les tapas (quoique j’aie dû apprendre comment et quand les manger), mais l’existence de « tablas » et « raciones » et le fait qu’on les partage m’était inconnu.
- L’huile d’olive est la reine de la cuisine espagnole (chez nous, la plupart des gens utilisent le beurre pour frire). En plus, il ne paraît pas bizarre de réutiliser l’huile après une première utilisation.
- En comparaison avec les Belges, vous mangez beaucoup de fruits secs. Un magasin comme « El Rincón » n’est pas vraiment courant en Belgique.
- Il me semble que les Espagnols (surtout les jeunes) aiment bien mélanger le pire des vins avec des boissons sucrées comme le coca cola. Chez nous, on ne mélange pas le vin, la bière si.
- Ici, le vin rouge se boit souvent froid. En Belgique, on le boit normalement chambré.
- Être végétarien semble toujours une exception en Espagne. Chez nous, presque chaque resto offre plusieurs plats végétariens. Ici, il vaut mieux manger du poisson, si on ne veut pas toujours manger de l’omelette.


La mode

- Le plus frappant, c’est la mode de coiffure. Ici, beaucoup de garçons sont fiers du « tapis » qu’ils portent dans la nuque. En Belgique, ceci n’est plus revenu à la mode depuis les années ’80. Pareil pour l’autre sexe : une fille coupée à la mode espagnole n’est généralement pas à la mode chez nous. Bon, peut-être la mode en Espagne devance la mode chez nous. Et puis il me semble que les « tapis » dans la nuque sont moins fréquents dans les autres régions de l’Espagne.
- En ce qui concerne les vêtements, j’ai l’impression que là aussi, la mode espagnole devance la mode belge. Les mini-jupes, les leggings, les jeans « bootcut »… ce n'est pas encore trop courant chez nous.
- Contrairement aux Espagnols, les Belges n’ont pas l’habitude de se changer une fois rentrés à la maison et de mettre des vêtements plus confortables, comme le fameux jogging. En plus, ici, le jogging se porte très souvent, même pour aller à l’école. Chez nous, on porte le jogging pour faire du sport. Si tu le portes pour aller à l’école, faire tes courses… c’est plutôt mal vu.


Le logement

- La plupart des Espagnols vivent dans « un piso », un appartement qui fait parti d’un de ces immeubles immenses qui se ressemblent tous. On les retrouve partout, même dans les villages des régions moins peuplées. Vous avez beaucoup plus d’espace qu’en Belgique, et pourtant, vous semblez préférer vivre tellement amassés. Bizarre pour quelqu’un qui vit dans un pays beaucoup plus petit, où la densité de population est beaucoup plus grande, mais où la plupart des familles vivent néanmoins dans une maison et non pas dans un appart. C’est qu’ici, vous vivez beaucoup plus concentrés, ce qui laisse beaucoup d’espace « vide » entre les villes et villages. L’espace vide est presque inexistant chez nous.
- Les immeubles forment plusieurs quartiers qui s’organisent comme des petits villages à l’intérieur de la ville. J’avais déjà découvert cette manière de vivre en lisant les histoires de Manolito Gafotas.
- Du fait que vous vivez essentiellement dans des apparts, vous n’avez pas de jardin ce qui explique la présence de nombreux enfants dans les airs de jeux après l’école. Beaucoup de ces enfants sont accompagnés de leurs grands-parents, qui semblent avoir un rôle social super important (garder leurs petits-enfants).
- Pour nettoyer le sol de votre appart, vous utilisez un balai à franges accompagné d’un seau pourvu d’un système pour le tordre. Ingénieux, mais je préfère toujours notre manière de passer la serpillière (on utilise une sorte de balai de caoutchouc autour duquel on met un chiffon mouillé). A chacun sa manière !


Le transport

- Si l’huile d’olive est la reine de la cuisine, la voiture est la reine de la rue. Même si un Espagnol sait qu’il sera hyper difficile de trouver du parking, il préfère souvent prendre sa voiture.
- Stationner en double file est une des habitudes les plus irritantes des Espagnols. C’est dangereux (surtout pour les cyclistes), et puis le bruit des klaxons qui devraient inciter les voitures mal garées à partir n’est pas trop agréable (surtout à 3 heures de la nuit).
- Aller à vélo est risquer sa vie. Pourtant, les nombreuses pistes cyclables à Barcelone et Madrid prouvent qu’un changement de mentalité est possible. Ici à Saragosse, il reste énormément à faire.
- Les feux rouges sont là pour nous permettre de traverser la rue (grâce aux feux, il y a certainement un moment où les voitures s’arrêtent), mais il paraît qu’ils ne sont pas du tout là pour les respecter à tout moment. Un Espagnol qui attend toujours le feu vert pour traverser la rue, semble être une exception.
- A part la voiture, un autre « moyen de transport » fort utilisé est votre fameux caddie (« carrito ») qui vous accompagne au magasin. Je dois avouer que c’est un système super pratique (surtout dans une ville où il est ridicule de faire ses courses avec la voiture, s’il n’y a pas de parking et si le supermarché est tout près). Malheureusement, chez nous, ce sont seulement les grands-mères qui l’utilisent. Je devrais essayer de généraliser ce système !
- En général, voyager en Espagne est plus facile et moins cher en bus qu’en train. Chez nous, c’est l’inverse (ce qui s’explique par la superficie plus petite du pays). Le seul problème, c’est la difficulté de trouver quelle est la compagnie de bus dont on a besoin pour arriver à telle ou telle destination. Une page Internet qui recueille l’information de toutes les compagnies pourvue d’un moteur de recherche serait plus pratique.


Le temps libre

- Tout comme les Français (et probablement beaucoup plus de peuples), les Espagnols ont l’habitude de traduire presque tous les titres de films et séries étrangers et, évidemment, de les doubler. Il s’ensuit que dans une série comme Friends ou The Simpsons, les personnages parlent ce que vous aimez entendre : l’espagnol. Les films en version originale sont assez exceptionnels dans le circuit commercial. En Belgique (au moins dans la partie flamande), on ne double presque jamais. La raison est probablement que ça coûterait trop cher, vu le nombre restreint de néerlandophones. Et voilà, comme je suis habituée à regarder des films en v.o., je n’aime pas trop les versions doublées.
- La télé est un élément essentiel dans la vie espagnole. Chaque bar est équipé d’une télé toujours allumée (quoique souvent sans son). Néanmoins, j’ai l’impression qu’il s’agit plutôt d’un élément décoratif. On la regarde comme si on regardait une peinture. On la regarde pour se distraire un peu, mais pas vraiment pour suivre les programmes. Evidemment, à la maison, c’est différent. Les Espagnols passent d’ailleurs beaucoup plus de temps devant la télé que les Belges. Autre différence est qu’ici, chaque chaîne propose énormément de publicité (en Belgique, il y a quelques chaînes subventionnées par l’Etat où il n’y a pas de publicité).Ce qui me paraît également bizarre, c’est que les informations du journal télévisé ne suivent pas vraiment un ordre logique (comme par exemple d’abord les nouvelles nationales, après les internationales suivies du sport et du météo). Une nouvelle sur Irak suit par exemple une nouvelle sur l’histoire du maire assassiné à Huesca pour continuer avec les intempéries au nord de l’Espagne.
- Il existe énormément de chansons espagnoles qui ont beaucoup de succès. En général, les différentes stations de radio proposent pas mal de musique de votre pays. Chez nous (en Flandre), il y a des chansons néerlandophones, mais elles sont clairement dans la minorité. Et la plupart des chansons qu’on écoute à la radio y sont étrangères. J’y vois plusieurs explications : - notre pays est moins grand, donc il y a moins de bons chanteurs- j’ai l’impression que les Espagnols sont plus fiers de leur langue et de leur culture en général- chanter en néerlandais n’aide pas forcément à devenir célèbre à l’étranger
- Il me semble que les Espagnols prennent beaucoup plus souvent l’apéro que les Belges. Chez nous, on le fait parfois le week-end, mais pas trop en semaine.
- Dans les bars (pour ne pas dire partout), vous jetez facilement vos papiers, serviettes, mégots… par terre. Heureusement qu’on nettoie régulièrement (bars et rues !).
- En général, les serviettes qu’on trouve dans les bars (dans les boîtes en plastique) n’aident pas trop à te nettoyer les mains. Elles aident peut-être à étaler l’huile d’olive sur tes mains, mais pas à l’absorber. Et néanmoins, on les utilise presque partout.
- Les hobbies principaux des Espagnols semblent être manger (l’activité la plus importante de votre vie ?), regarder la télé (et surtout le foot, au moins pour les hommes) et faire du shopping (femmes !).
- Heureusement il y a les centres de la jeunesse, qui proposent tout un éventail d’activités qui ne sont pas trop chères.
- L’Espagne est un pays immergé de bazars orientaux, avec une offre merveilleuse de fleurs en plastique.


Mentalité…

- Quoique la situation de la femme se soit déjà beaucoup améliorée, il me paraît que le machisme est toujours assez vivant. Il n’est pas rare que dans un ménage, ce sont la mère et les filles qui cuisinent, qui mettent la table et qui font la vaisselle, pendant que le père est les fils regardent la télé. C’est sûr qu’une telle situation existe également en Belgique, mais j’ai l’impression que les femmes s’y sont déjà plus émancipées. De plus, les médias espagnols prouvent que les femmes subissent beaucoup de violence de la part de leurs (ex-)maris.
- La participation à la loterie de Noël est énorme. Il me paraît que cet événement renforce le sentiment patriotique des Espagnols. A part la loterie de Noël, j’étais étonnée par la forte présence de points de vente de l’ONCE et par leur succès apparent. Mais que font ces vendeurs les jours de grande chaleur, enfermés dans leurs petites cabines ?
- J’ai l’impression qu’en général, les Espagnols sont plus régionalistes (Aragón ! – Cataluña ! …) que nationalistes. Chaque région fonctionne dès lors comme un petit pays dans le pays énorme qu’est l’Espagne. En plus, il me paraît que les habitants des différentes autonomies ne se considèrent pas vraiment comme des amis (au moins en Aragon, les Basques et les Catalans ne semblent pas trop aimés).
- Quand vous rencontrez un ami dans la rue, vous dites souvent « hasta luego ». Pour un étranger, c’est assez bizarre de « prendre congé de quelqu’un » avant de l’avoir « salué » (c’est que les mots « hasta luego » s’utilisent dans les deux cas, où est-ce que je me trompe ?).
- Au début, les mots « luego hablamos », souvent dit quand on prend congé, me faisaient penser que la personne voulait encore parler (sérieusement) d’un certain sujet, comme si on disait : « nous deux, on a encore une affaire à régler ». Mais apparemment, il s’agit d’une formule assez courante de prendre congé.
- La langue espagnole compte énormément de gros mots que vous utilisez fréquemment.
- En général, les Espagnols sont assez ouverts. Ainsi il me semble beaucoup plus facile de faire des amis espagnols que des amis belges. Ici, lors d’une première rencontre, il arrive d’échanger déjà les numéros de téléphone. Ceci est plutôt rare chez nous où on est beaucoup plus fermé, où on a besoin de beaucoup plus de temps avant de pouvoir s’appeler des « amis ».
- Les Espagnoles se donnent beaucoup de bisous, même s’ils ne se connaissent pas (par exemple lors d’une première présentation). En général ils donnent deux bisous. Les Belges donnent pas tellement de bisous et le nombre n’est pas 2 mais 3 (situations plus formelles, fêtes de familles…) ou 1 seul (les amis).

martes, 13 de marzo de 2007

Solidaridad con Nicaragua


Los alumnos de 1º E escriben sobre comportamientos solidarios.
Dado que nuestro centro (IES Luis Buñuel) está hermanado con un centro escolar (EL Tololar), de Nicaragua, cada cierto tiempo se llevan a cabo actividades o ventas de productos para que nosotros, podamos enviar material, dinero, cartas...ETC.

Este curso, por ejemplo, ha habido diversos acontecimientos para el envío de material escolar y dinero, como la venta de chocolate de Nicaragua a precio justo. En esta actividad, todos los alumnos salían cargados y cargados de tabletas. Otra actividad fue la "La tómbola solidaria" en la que con objetos donados por alumnos se podian adquirir los boletos. El dinero se enviaba a Nicaragua. Por último los dias 8 y 9 de marzo se recogieron lápices, sacapuntas y gomas para que el dia 12 salieran hacia Nicaragua y así poder contribuir al desarrollo de las gentes que allí viven.

Pregunta: ¿Dónde se encuentra el cuadro que hay en la fotografía? Si lo sabes contacta con Salvador y tendrás un premio. (Ayuda: Es de madera, se encuentra en una sala de la planta baja del instituto y está cerca de un reloj. Tendrás que preguntar a algún profesor)

jueves, 8 de marzo de 2007

Instituto "El Tololar" de Nicaragua

Durante esta semana nos han visitado algunos profesores del Instituto "El Tololar" de Nicaragua. Su presencia es como una brisa que recorre las clases y los pasillos del centro, dejando testimonio de una vida sacrificada y ejemplar para educar en unas condiciones extremadamente difíciles.
El intercambio ha dejado en nuestro corazón, sobre todo, el impulso a buscar una solidaridad continuada hacia los compañeros que tienen menos recursos. Es una lástima que la rutina diaria pase como una apisonadora, aplastando y trivializando la verdadera jerarquía de valores en una sociedad como la nuestra.
Se está preparando una "maleta viajera" donde se van aportando cartas, detalles, fotos, sensaciones... pero, sobre todo, tiene que llenarse de nuestro recuerdo que, seguramente, llenará de alegría el corazón de aquellos chicos y chicas de Nicaragua.